Les sapins étaient autrefois décorés de fruits et fleurs d'hiver tels que pommes, pommes de pins, noix, noisettes. Ce n'est qu'au milieu du XIXème siècle, suite à une grande sécheresse et une pénurie de fruits (donc de décorations), que sont soufflées les premières "boules" de Noël en verre, en Allemagne d'abord puis dans l'est de la France, à Goetzenbruck.

Pour aller plus loin sur la verrerie de Goetzenbruck : http://www.ciav-meisenthal.fr/

******************JOYEUX NOEL*******************

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Au sein de leur tribu, les femmes girafes Ndebele d'Afrique du sud occupent une position privilégiée du fait de leur maîtrise des arts picturaux et vestimentaires. Seules celles-ci sont habilités à recouvrir de motifs géométriques (de nos jours sans significations) les habitations de leurs villages. Initialement dans les tons bruns ocre, les couleurs industrielles utilisées aujourd'hui pour ces peintures et vêtements sont bien plus vives.

Les femmes Ndebele, tout comme les femmes Padaung en Birmanie, sont également -tristement- connues pour la longueur exceptionnelle de leur cou, due au port d'un long et lourd collier-spirale en laiton facteur d'un affaissement de leur cage thoracique. L'apparence du long cou serait donc créée par la déformation des côtes et des clavicules, et par la compression des muscles des épaules... un bien étrange bijou...

1) Motifs Ndebeles. Cape Town

2) Carte d'Afrique du sud

3) Apprêt spirale en laiton

4) Faune d'Afrique du sud

5) Drapeau sud-africain

6) Jeannette Pointu, 9 : les femmes girafes / Marc Wasterlain. Dupuis, 1995.

7) Schéma des déformations vertébrale et thoracique des femmes girafes.  A droite : femme girafe. A gauche : femme ne faisant pas partie de ces tribus Padaung ou Ndebele

8) Carte de Birmanie

9) Femme Padaung. Expo temporaire "Ethnie, poupées, reflet des peuples". Août 2013, Musée de la Poupée, Paris.

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Persil : Traitement pour les yeux fatigués : faire bouillir quelques branches de persil frais dans 1 L d'eau minérale. Laisser tiédir et poser sur les yeux des compresses imbibées de cette préparation pendant une dizaine de minutes.

Concoction pour manque de tonus : chaque matin à jeun, mixer quelques brins de persil frais avec un peu d'eau et boire ce mélange.

Thym : Appliquer une compresse imbibée d'infusion au thym pour soulager les coups de soleil, les petites écorchures, les ecchymoses.

Sauge : Appliquer une feuille de sauge directement sur la peau en cas de piqûre d'insecte, d'aphte, de bouton de fièvre.

1) Persil plat

2) Ciboulette

3) Thym citron

4) Basilic

5) Sauge

6) Thym

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Après la torche primitive, la torche de poix, et la lampe à huile antique, c'est au tour du brûle-joncs et de la chandelle (bientôt accompagnée du chandelier et de la lanterne à bougies) d'éclairer les foyers du Moyen Âge,

Dès 1200, un problème de sécurité se pose dans les ruelles non éclairées des villes, C'est de cette insécurité que naît au court des siècles suivants un besoin grandissant d'éclairage collectif. Mais il faudra attendre le XVIIème siècle et la mise en place de systèmes aussi nombreux qu'infructueux, pour qu'un 1er "service public" prenne forme, confié "par privilège de charge du roi" à un entrepreneur italien. Il s'agissait alors de "porte-flambeaux" (serviteurs) chargés d'accompagner et d'éclairer les voyageurs, ceux-ci payant alors à la tranche de bougie consommée.

Ce service étant lucratif, le roi décide de s'y intéresser de plus près : c'est alors que naît l'entreprise publique de l'éclairage de Paris, le premier véritable service d'éclairage collectif. En 1661, Louis XIV instaure la mise en place de lanternes dans toutes les rues et places de Paris. Le service d'entretien de l'éclairage public (chargé d'allumer les bougies aux heures et dates prévues par le règlement) est confié aux bourgeois de la ville. Mais ces derniers ne l'entendent pas de cette oreille et vont tout faire pour échapper à cette charge.

Les plus anciens bourgeois décident d'abord de reléguer cette tâche aux "nouveaux parvenus", mais sur ordre du roi le règlement est modifié et précise que tous doivent s'y plier. Ne pouvant se soustraire à cette obligation, les bourgeois saboteront et tenteront alors de tirer profit de la situation, imbibant discrètement d'eau les mèches, découpant les bougies de moitié pour constituer leur propre stock... 

Symbolisant  la mesquinerie par excellence, c'est à cette époque que l'expression "faire des économies de bouts de chandelles" voit le jour.

La tâche de lampiste public incombera tout de même aux bourgeois jusqu'en 1758.

De nos jours et suite à l'avènement de l'électricité, la bougie n'a plus la même utilité d'éclairage qu'autrefois. Multicolore, sculptée, décorative, elle est également communément associée à des événements heureux, gourmands, voire glamours, tels qu'un dîner aux chandelles ou la célébration d'un anniversaire...

1) Lampe à pétrole à bascule

2) Chandelier médiéval en bois suspendu à une corde pour allumer et changer les chandelles

3) Lampe à modérateur

4) Lampe antique

5) Lanterne à bougies

6) Brûle-joncs

Pour aller plus loin : http://www.geopedia.fr/histoire-eclairage.htm

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La turquoise était autrefois étroitement liée, chez les Indiens d'Amériques, à la religion, la médecine, le commerce (troc) et la politique (négociation de traités).

Pour les Navajo, la turquoise était un morceau de ciel tombé sur terre. Pour les Zunis, elle les protégeait des démons. Pour les Apaches, elle contenait les esprits de la mer et du ciel et portait chance aux guerriers et aux chasseurs.

La turquoise était considérée comme une pierre de vie et de bonne fortune ayant des propriétés curatives : on pensait qu'elle soignait les désordres gastriques, les hémorragies internes, les piqûres de serpents et de scorpions, qu'elle protégeait des blessures par accident, et prévenait la cécité et la folie.

1) Sky Hawk / Jirô Taniguchi. Casterman : 2009

2) Tissu imprimé

3) Edward S. Curtis. Female shaman Hupa, 1923

4) Edward S. Curtis

5) Carte des mines de turquoises du sud-ouest des E.U.

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